Et paaf sa fait plouf

Je ne sais pourquoi mais une soudaine envie m'a poussé à venir sur ce ponton. JE remarque le bois usé par le passage des calèche. je le plain, ne pas pouvoir faire ce qu'il veut. Ne pas pouvoir s'exprimer. Je ne voulais qu'une chose repartir au plus vite, au moins chez la vieille je pouvais vraiment faire ce que je voulait mais la non. Pourquoi m'avoir mit ici ? Question simple, pour que je joue au lèche cul avec la directrice et que la vieille puisse se servir de moi ensuite, elle croyait que je jouerai le jeu. Mon dieux les nobles n'ont donc pas de jugeote. Je regarde en contre-bas du ponton. Le lac limpide me renvoi une image qui illustre bien la situation, mon reflet et insignifiant tout comme mes actes. Sauf ce qui créer les grands torrent ce sont les petites rivière. Tant qu'il existera des crétins comme moi pour rembarrer les nobles sur leur terrain, ils ne seront pas tout à fait tranquille.

-Je ne ferais pas le jeux de la noblesse je ferais le jeux de l'emmerdeur respectueux.

Je l'avais apprit bien à mes dépens, mais se moquer de quelqu'un de façon très subtil faisait encore plus mal que se moquer de lui ouvertement. Je souriais grandement quand j'entends quelqu'un arriver derrière moi. Je vérifie deux chose primo que j'ai bien mon gant sur la main. Deuxio : que je n'ai plus mon sourire sur le visage. Et c'est sans même me retourné que je m'adresse à la personne qui arrive.

-Qui es tu ? Que veut tu ?

J'avais eu envie d'explorer l'école et de sortir des murs de chez moi ou de l'école d'ailleurs...Je commença à marcher sans s'avoir où j'allais, je pensais au bon moment passé avec Audrey et Thomas tous les deux malheureusement défunts...Quand j'y repensais, les seuls qui m'avaient permis de ne pas sombrer en dépression après leurs morts à tous les deux furent les servantes qui me rendirent l'envie de m'enfuir des quatres murs de ma chambre mais aussi les citoyens de la ville ne faisant pas partie de la haute société avec qui j'allais danser tous les soirs avant et après la mort de Thomas et Audrey lors de l'épidémie qui touchait toute la ville à ce moment là...Je ne m'en étais toujours pas complètement remise mais je devais me montrer forte pour eux et non pour mes parents qui ne se sont jamais occupés de nous lors de notre enfance...Ce fut seulement grâce aux modestes que l'on appris les bonnes manières, mais aussi apprendre à rester sérieux ou à ne pas rabaisser les gens comme nos parents nous disaient de le faire car pour eux, les modestes étaient des gens à éviter, des gens que personnes ne devaient aimer...Moi, ma soeur et mon frère voyons cela d'une autre façon que la leur, pour nous les modestes étaient des gens qui vivaient très dignement et étaient heureux...Tous ceux qui étaient modestes vivaient une vie heureuse, jamais obliger de suivre des cours de bonnes manières, des cours dans des écoles privées ou seulement fréquentées par les nobles et eux avaient l'amour de leurs parents que nous n'avions jamais eu...Nous avions l'amour des gens de la ville qui nous considéraient comme leurs enfants...Soudain, je m'arreta de marcher, je pensais me souvenir que les modestes m'avaient dit qu'il y avait un ponton à l'extérieur de l'école où un lac dans lequel le soleil se reflétait ce qui faisait que ce lac était merveileux...Je regarda le lac, ce qu'ils m'avaient dit ce révelait être vrai...Je remarqua alors un jeune homme qui lui aussi avait remarqué ma présence...Il me demanda qui j'étais et ce que je voulais...

"Je m'appele Selena Ogawa et je me promene et toi ?"

La jeune inconnue vient de me posé la question stupide, puisqu'elle m'avait entre vue au cours de français il me semble. Mais bon je me retourne, je souris, c'est pas un sourire naturel, je réponds.

-Je suis un simple étudiant comme tout les gens qui sont élèves ici. On ne me différenci que par mon nom, une appelation que je n'ai pas choisit, je suis Sacha Tsubame un simple étudiant de classe moyenne.

Je sens qu'elle est noble trop de manière, trop de politesse forcé dans ses gestes bref sa me donne une envie de vomir, je hais les hypocrites mais je n'en laisse rien paraitre. Je continu de sourire tranquillement. Et demande.

-Pourquoi vous vous obligez tous à être irréprochable. Je crois qu'être parfait c'est se montrer imparfait car pour qu'un miracle ai lieux il faut bien avoir des défauts, mais cela ne reste que mon avis. Qu'en penses tu toi ?

Je me rappela avoir entre vue ce jeune homme dans la cours de Francais me semblait il...Cela était bien possible après tout mais bon comme je n'avais pas tout suivi de la dispute...Mais bon je m'éfforca de penser à autre chose...Je détailla le jeune garçon puis soudain le jeune garçon dit qu'il était un simple étudiant exactement comme tous ceux de cette académie...Il dit que son nom était Sacha Tsubame, un simple étudiant de classe moyenne...Cela ne me osait aucun problème mais lui je n'étais pas sur qu'il acceptait les nobles...Je ne dis rien et souris à Sacha...Il me demanda pourquoi nous étions obliger d'être irrépochable, il dit aussi qu'il pensait que vouloir être parfait c'est se montrer imparfait, de toute façon personne n'était et ne sera jamais parfait, c'était son avis, un avis que je respectais...Il me demanda ce que j'en pensais...Je souris mais eut envie de pleurer en pensant à mon frère et ma soeur tous les deux morts...

"Si on essaye d'être irréprochable c'est pour nos parents, c'est comme cela que nous avons été élevés...Enfin pas moi, je suis noble mais les seuls qui m'on élevée étaient les gens de la ville...Je pense donc que l'on soit noble ou pas, tout ce qui nous différencie c'est seulement le rang social à part ça nous sommes les mêmes.

J'essuya des larmes qui coulaient sur mes joues...

-Je crois que tu ne capte ce qui nous différencie c'est notre mentalité, pour moi tu n'es pas noble, ou si tu l'es par le sang mais pas dans l'esprit et seul l'esprit compte. Je suis pour les nobles un modeste du fait de ma naissance et pour les modestes un noble de par mon éducation.

Un frissons me parcourt le corps un frissons maladif, j'ai soudain envi de vomir, je me dégoute.

-Je ne veux pas de gens supérieur aux autres, ou des gens inférieur aux autres. Je cherche juste un endroit ou les gens sont égaux. Mais les modestes sont trop habitué à se faire marcher dessus pour se plaindre ouvertement et les nobles veulent encore plus écrasés les modestes. Quel monde pourrit.

Ma tristesse je parviens presque à l'avoir dans ma main elle est palpable. Mais ma révulsion envers moi même l'est plus encore, que suis je donc ? Ne suis je donc que le monstre que je prétend être malgré la peine que cela m'inflige. Je pose ma question, mon doute à haute voix.

-Que suis je donc ? Monstre, humain ou une troisième sorte d'être vivant.

[HRPG : désolé, Zack et moi on était emsemble au moment de la erp donc on a pas pensé à changer de personnage, (ici c'est Sacha qui parle) Je m'excuse je n'ai pas pensé à changer de session.]

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